Le Québec est entré de plein pied dans l'ère de la globalisation et de la course effrénée au mieux -être et partage en cela les idéaux de la société nord américaine et occidentale. Ce n'est pas vilain en soi, sauf que je crois personnellement que la société québécoise se doit de faire un sérieux examen de conscience sous plusieurs rapports. Je veux parler dans ces lignes de l'individualisation à outrance et de la médisance ou "cassage de sucre sur le dos des autres". Il semble que nous soyons passés maîtres dans ces aspects.
Je peux paraître sévère quant à mon opinion mais, je vous le rappelle, la valeur du partage et de la discrétion comptent parmi mes valeurs primordiales. À titre d'exemple, lors de ma mission citoyenne au Cameroun, j'ai vu plus d'une fois des gens pauvres d'un village offrir le gite et nourriture à des personnes en difficulté, originaires du pays ou même des étrangers. Cela m'a fait réfléchir sur le sens de la solidarité partagée par ces Africains par rapport aux carences du Québec en ce domaine, bien que l'on se vante de posséder les meilleures mesures sociales du monde. Sur le plan individuel, je crois qu'il y a du rattrapage à accomplir.
Un autre axe qui me touche au plan des valeurs, c'est ce "cassage de sucre" dont j'ai moi-même été victime pendant mon absence, lors de ma mission humanitaire. Cela me sidère de constater que des gens auxquels on a rendu service, même lorsqu'on ne les connaît pas, médisent sur leurs bienfaiteurs. Parfois, c'est moins accentué, mais les remarques blessantes et jugements de valeur de certaines personnes font mal aux personnes qui en sont l'objet. Du reste, cela finit par se savoir, plus souvent qu'autrement par une tierce personne. C'est à croire que la société québécoise ne sait plus dire les vraies choses directement à ses compatriotes; que le "cassage de sucre" serait devenu notre sport national.
Du reste, j'encourage les bloggueurs à méditer du point de vue de la pastorale sociale: ce que vous faites ou dites aux autres, de vos semblables, assurez vous d'en cerner la source précise car, comme l'exhortait Paul l'apôtre aux Ephésiens: "...Si ce que vous dites ou apprenez d'autrui n'est pas utile, il vaut mieux garder le silence!..." Donc, j'en reviens à la notion d'altérité dont j'ai fait allusion dans les blogs précédents. Être attentifs aux besoins de l'autre, en sachant l'écouter, sans tout approuver systématiquement revient à dire que l'on se centre moins sur soi et que l'on développe graduellement des qualités morales additionnelles; la discrétion, l'entregent et la solidarité. Sur ce, passez une belle journée! À la prochaine!
lundi 30 juin 2008
samedi 28 juin 2008
ÉTHIQUE ET ENJEUX CULTURELS
C'est dans une perspective toujours pastorale que j'élabore un thème qui m'est cher. En voici un où les bloggueurs pourront argumenter à leur aise "Éthique et enjeux culturels. D'emblée, je souhaite faire prendre conscience de la mouvance des courants axiologiques dans cette société québécoise pluraliste, nord américaine. Beaucoup de thèmes ont été abordés sur l'éthique dans une société en mutation comme la nôtre.
Qu'il s'agisse de parler d'accomodements raisonnables, de commerce équitable ou d'enjeux environnementaux planétaires voire de protection de la propriété intellectuelle, toutes les classes sociales s'interpénètrent dans ces enjeux. Compliqué? Complexe, oui, mais pas si compliqué si notre réflexion est conséquente à un esprit d'ouverture, pas de laxisme. Ainsi, les accomodements raisonnables, tels que largement médiatisés via la Commission Bouchard-Taylor: Il ya certes lieu de faire preuve d'ouverture face aux Néo Québécois mais également de discernement, dans des choix responsables et citoyens. On ne peut tout de même pas acceuillir à pleines portes les immigrants ayant des dossiers criminels dans leur pays d'origine.
J'adopte aussi la même attitude citoyenne et équitable quant au commerce. Au lieu de me battre contre les mégacorporations, pollueuses et aux méga profits, je valorise l'achat de produits équitables tels le café et autres. Là existe, dans ma perception altermondialiste, une possibilité concrète de réduction significative de la pauvreté. Ce n'est pas utopiste, ce mouvement est déjà amorcé dans les pays du G-7. Quant à l'environnement, les défis sont plus de taille, vu le recul du Canada face aux accords de Kyoto. C'est un thème à suivre pour vous tous. Discutons en!
Salutations amis bloggeurs
Qu'il s'agisse de parler d'accomodements raisonnables, de commerce équitable ou d'enjeux environnementaux planétaires voire de protection de la propriété intellectuelle, toutes les classes sociales s'interpénètrent dans ces enjeux. Compliqué? Complexe, oui, mais pas si compliqué si notre réflexion est conséquente à un esprit d'ouverture, pas de laxisme. Ainsi, les accomodements raisonnables, tels que largement médiatisés via la Commission Bouchard-Taylor: Il ya certes lieu de faire preuve d'ouverture face aux Néo Québécois mais également de discernement, dans des choix responsables et citoyens. On ne peut tout de même pas acceuillir à pleines portes les immigrants ayant des dossiers criminels dans leur pays d'origine.
J'adopte aussi la même attitude citoyenne et équitable quant au commerce. Au lieu de me battre contre les mégacorporations, pollueuses et aux méga profits, je valorise l'achat de produits équitables tels le café et autres. Là existe, dans ma perception altermondialiste, une possibilité concrète de réduction significative de la pauvreté. Ce n'est pas utopiste, ce mouvement est déjà amorcé dans les pays du G-7. Quant à l'environnement, les défis sont plus de taille, vu le recul du Canada face aux accords de Kyoto. C'est un thème à suivre pour vous tous. Discutons en!
Salutations amis bloggeurs
vendredi 27 juin 2008
EXODE ET ALLIANCE
Ce thème à saveur pastorale n'est pas le premier qui me vient à l'esprit mais puisque je voulais aborder l'aspect migratoire/transitoire et l'alliance personnelle quant à notre existence, je l'ai choisi expressément en vue d'en faire l'exégèse et l'application à aujourd'hui. Comme le diraient mes professeurs, dont l'abbé Marc Girard: "une relecture en contemporanéité".
Ainsi, ne sommes nous pas des pèlerins prenant la route de l'existence. Quelques uns d'entre vous ont probablement entendu parler du Livre de L'Exode et de la Première Alliance au Mont Sinaï (Horeb), dans la Bible, le Premier Testament/textes vétérotestamentaires. Vous avez vraisemblablement entendu parler de Moïse et des tables de la Loi/Décalogue. Or quel rapport ces chapitres ont-ils avec le thème abordé? Justement, nous les individus du 21ième siècle de ce Québec sécularisé, traversons souvent des déserts dans notre existence et recherchons des modèles d'humanisme. En quelque part, nous sommes en quête d'une vérité codifiée dans le dessein du mieux être, malheureusement trop souvent de façon égocentrique et à la recherche du plaisir effréné, de l'épicurianisme poussé à l'extrême. Dès lors, c'est une exode avec fuite en avant, sauf que nous ne fuyons pas l'armée égyptienne comme aux temps de Moïse et des Patriarches. Parfois, c'est pire, nous nous défilons devant nos responsabilités et les résultats désastreux sont connus; famine, pauvreté, dépendances multiples et j'en passe...
Du reste, qu'en est-il de ceux qui sont les mal aimés? Brisons nous une alliance d'avec Dieu pour ne satisfaire que nos besoins primaires. Heureusement pour la société, il existe de ces gens pour lesquels la Nouvelle Alliance est ce désir renouvelé de recherche du bien au travers des gestes fraternels quotidiens. J'ose croire qu'ils sont plus nombreux qu'on le croit. Je ne crois pas qu'il faille devenir tous des Jean Vanier, des Abbé Pierre ou Mère Térésa de Calcutta pour être à l'écoute des plus petits que soi. Lorsque nous prenons pleinement conscience de notre humanité et de notre lien sacré avec le Divin, nous cheminons davantage sur le sentier, non pas de l'Exode mais sur celui d'une Alliance spirituelle impérissable. Je vous invite, chers bloggueurs à m'envoyer vos impressions sur ce thème. Merci et salutations pastorales!
Ainsi, ne sommes nous pas des pèlerins prenant la route de l'existence. Quelques uns d'entre vous ont probablement entendu parler du Livre de L'Exode et de la Première Alliance au Mont Sinaï (Horeb), dans la Bible, le Premier Testament/textes vétérotestamentaires. Vous avez vraisemblablement entendu parler de Moïse et des tables de la Loi/Décalogue. Or quel rapport ces chapitres ont-ils avec le thème abordé? Justement, nous les individus du 21ième siècle de ce Québec sécularisé, traversons souvent des déserts dans notre existence et recherchons des modèles d'humanisme. En quelque part, nous sommes en quête d'une vérité codifiée dans le dessein du mieux être, malheureusement trop souvent de façon égocentrique et à la recherche du plaisir effréné, de l'épicurianisme poussé à l'extrême. Dès lors, c'est une exode avec fuite en avant, sauf que nous ne fuyons pas l'armée égyptienne comme aux temps de Moïse et des Patriarches. Parfois, c'est pire, nous nous défilons devant nos responsabilités et les résultats désastreux sont connus; famine, pauvreté, dépendances multiples et j'en passe...
Du reste, qu'en est-il de ceux qui sont les mal aimés? Brisons nous une alliance d'avec Dieu pour ne satisfaire que nos besoins primaires. Heureusement pour la société, il existe de ces gens pour lesquels la Nouvelle Alliance est ce désir renouvelé de recherche du bien au travers des gestes fraternels quotidiens. J'ose croire qu'ils sont plus nombreux qu'on le croit. Je ne crois pas qu'il faille devenir tous des Jean Vanier, des Abbé Pierre ou Mère Térésa de Calcutta pour être à l'écoute des plus petits que soi. Lorsque nous prenons pleinement conscience de notre humanité et de notre lien sacré avec le Divin, nous cheminons davantage sur le sentier, non pas de l'Exode mais sur celui d'une Alliance spirituelle impérissable. Je vous invite, chers bloggueurs à m'envoyer vos impressions sur ce thème. Merci et salutations pastorales!
jeudi 26 juin 2008
LA QUÊTE DE SENS
L'idée de ce thème m'est venue lorsque j'ai discuté récemment de la quête de sens dans la dimension spirituelle de l'être humain à un ami qui cherchait précisément un sens à sa vie. celui-ci traversait une étape très difficile où le découragement et la perte d'orientation surviennent. Or, nous vivons dans une société pluraliste aux questionnements nombreux. Qu'il suffise de soulever la problématique des accomodements raisonnables et l'on trouve là un sujet à discussions.
En ce qui me concerne, il existe un certain malaise, pour ne pas dire mal de vivre et peut être, absence de lâcher prise dans cette société québécoise trop?...sécularisée. Mes expériences à titre de finissant en Théologie et Pastorale, d'intervenant et fondateur d'un organisme caritatif me le laissent croire. C'est mon avis personnel mais j'ai tendance à expliquer ce phénomène à partir du triangle humain/autre/l'autre, dans un concept trinaire, tel que développé par le Dr Paul Ricoeur. Pour parvenir à cela, disons que je compare l'individu, dans sa dimension éthico-spirituelle à un chercheur de vérité. à cette fin, il faut que la vie même, authentique et vibrante, constitue une quête en devenir constant, soit, un "Work in progress" (travail en évolution) comme dirait mon ami Marc.
Or, il me vient à l'esprit la quête de soi telle que narrée par JRR Tolkien dans sa trilogie du "Seigneur des Anneaux". Bien sûr, cette allégorie représente la recherche de vérité par les Hobbits. Jusqu'à un certain point, nous leur ressemblons. Sauf, que dans l'explication trinaire dont je vous parlais au début de ce blog, l'humain se dirige plus loin dans sa quête sans s'en douter parfois. C'est pourquoi beaucoup de gens dépossédés d'eux mêmes retrouvent plutôt le non-sens, du reste, une certaine forme expurgée de nihilisme.
Aussi, je tenais à vous rappeler le chemin raboteux, semé d'embuches, lire "dépendances" et autres types de souffrance ou mal être que tout chercheur ou chercheuse de sens s'apprête à parcourir. Je termine ce petit laïus en vous posant cette question: Dans votre quête personnelle, y a t'il place à l'autre, dans un souci d'altérité, ou encore à l'Autre, dans sa dimension sacrée ou pastorale Dieu, si vous préférez?
Je vous salue amis bloggueurs et à la prochaine!
En ce qui me concerne, il existe un certain malaise, pour ne pas dire mal de vivre et peut être, absence de lâcher prise dans cette société québécoise trop?...sécularisée. Mes expériences à titre de finissant en Théologie et Pastorale, d'intervenant et fondateur d'un organisme caritatif me le laissent croire. C'est mon avis personnel mais j'ai tendance à expliquer ce phénomène à partir du triangle humain/autre/l'autre, dans un concept trinaire, tel que développé par le Dr Paul Ricoeur. Pour parvenir à cela, disons que je compare l'individu, dans sa dimension éthico-spirituelle à un chercheur de vérité. à cette fin, il faut que la vie même, authentique et vibrante, constitue une quête en devenir constant, soit, un "Work in progress" (travail en évolution) comme dirait mon ami Marc.
Or, il me vient à l'esprit la quête de soi telle que narrée par JRR Tolkien dans sa trilogie du "Seigneur des Anneaux". Bien sûr, cette allégorie représente la recherche de vérité par les Hobbits. Jusqu'à un certain point, nous leur ressemblons. Sauf, que dans l'explication trinaire dont je vous parlais au début de ce blog, l'humain se dirige plus loin dans sa quête sans s'en douter parfois. C'est pourquoi beaucoup de gens dépossédés d'eux mêmes retrouvent plutôt le non-sens, du reste, une certaine forme expurgée de nihilisme.
Aussi, je tenais à vous rappeler le chemin raboteux, semé d'embuches, lire "dépendances" et autres types de souffrance ou mal être que tout chercheur ou chercheuse de sens s'apprête à parcourir. Je termine ce petit laïus en vous posant cette question: Dans votre quête personnelle, y a t'il place à l'autre, dans un souci d'altérité, ou encore à l'Autre, dans sa dimension sacrée ou pastorale Dieu, si vous préférez?
Je vous salue amis bloggueurs et à la prochaine!
mardi 17 juin 2008
LA RUE, C'EST MON ÉGLISE
À Québec, Saint Roch est un peu la planète éloignée du système solaire. Tiraillés entre le souvenir d'une époque où le quartier faisait figure de "vrai" centre-ville et l'espoir pour les élus de voir renaitre la prospérité en bas du cap, les problèmes sociaux sombrent de plus en plus dans l'oubli. Sans pour autant décroitre...
C'était dans ce contexte que j'agissais à titre de travailleur de rue auprès des toxicomanes et des prostitué(e)s, des personnes que la société a exclus des églises. Alors, l'église de pierre s'est transformée, au gré de mes rencontres avec ces gens de souffrance, en véritable Église de chair, la vraie; selon moi, celle que l'on retrouve dans la rue. Je vous explique quelques aspects de mon travail d'alors sans vouloir sombrer dans le mélodramatique.
Au contact de ces personnes, qui me surnommaient affectueusement "Le Jésus des putes" et auxquelles j'apportais mon soutien, je découvrais toute la grandeur et misère de la condition humaine. J'admets que je ne comprenais pas ce titre dont m'avaient affublé les prostituées, du moins au tout début. Je compris au fil du temps que c'était là leur façon d'exprimer leur amour envers moi.
Dans ma tâche, j'étais aidé et encouragé par le père Capucin Gilles Frigon, un émule de Saint-François d'Assise, avec la bénédiction et les encouragements du Supérieur de la Fraternité des Capucins, à Limoilou. Nous essayons d'apporter du réconfort à ces personnes dans la dignité. Un exemple de parcours, dans une démarche pastorale authentique, c'est l'écoute proactive avec quelques références occasionnelles aux Saintes Écritures. Mais attention!!! Je me gardais bien d'émettre des jugements de valeur ou moraux.
Aussi, je sentais que je pouvais atteindre ces gens d'une certaine façon, ok d'accord, pas toujours le plus facilement. Quand je recueillais des confidences telles que celles de Réjeanne, de Luc ou encore de "Tintin", je percevais le message de Matthieu envers les plus petits et les mal-aimés: "Ce que vous faites aux plus petits d'entre les miens, c'est à moi que vous le faites." J'aimerais vous glisser ceci, amis bloggueurs, en passsant. Je repense à l'exemple de Marie Madeleine, la pécheresse type que Jésus n'a jamais jugée car Il voyait toute la chaleur de l'amour et de sincérité des prostituées de son époque.
Je ne cache pas que j'ai observé beaucoup de souffrances, d'exclusions et expulsions de ces personnes humaines vers d'autres lieux. Pourtant, j'ai entendu chez elles plus de propos lucides et près de la dimension spirituelle de l'être humain que bien des croyants fréquentant ces églises de pierre dont je vous parlais au début. Si certains d'entre eux partent vers un monde meilleur, je crois, ceux-ci laissent pour moi le souvenir vivace d'une réalité apostolique de plus en plus vérifiable, celle d'une vraie Église vivante, dans la rue, au coeur de l'humanité.
Comme je vous en fais habituellement l'invitation, vous pouvez blogguer avec moi. J'apprécierai tout commentaire constructif et original sur le thème que je viens d'aborder!
C'était dans ce contexte que j'agissais à titre de travailleur de rue auprès des toxicomanes et des prostitué(e)s, des personnes que la société a exclus des églises. Alors, l'église de pierre s'est transformée, au gré de mes rencontres avec ces gens de souffrance, en véritable Église de chair, la vraie; selon moi, celle que l'on retrouve dans la rue. Je vous explique quelques aspects de mon travail d'alors sans vouloir sombrer dans le mélodramatique.
Au contact de ces personnes, qui me surnommaient affectueusement "Le Jésus des putes" et auxquelles j'apportais mon soutien, je découvrais toute la grandeur et misère de la condition humaine. J'admets que je ne comprenais pas ce titre dont m'avaient affublé les prostituées, du moins au tout début. Je compris au fil du temps que c'était là leur façon d'exprimer leur amour envers moi.
Dans ma tâche, j'étais aidé et encouragé par le père Capucin Gilles Frigon, un émule de Saint-François d'Assise, avec la bénédiction et les encouragements du Supérieur de la Fraternité des Capucins, à Limoilou. Nous essayons d'apporter du réconfort à ces personnes dans la dignité. Un exemple de parcours, dans une démarche pastorale authentique, c'est l'écoute proactive avec quelques références occasionnelles aux Saintes Écritures. Mais attention!!! Je me gardais bien d'émettre des jugements de valeur ou moraux.
Aussi, je sentais que je pouvais atteindre ces gens d'une certaine façon, ok d'accord, pas toujours le plus facilement. Quand je recueillais des confidences telles que celles de Réjeanne, de Luc ou encore de "Tintin", je percevais le message de Matthieu envers les plus petits et les mal-aimés: "Ce que vous faites aux plus petits d'entre les miens, c'est à moi que vous le faites." J'aimerais vous glisser ceci, amis bloggueurs, en passsant. Je repense à l'exemple de Marie Madeleine, la pécheresse type que Jésus n'a jamais jugée car Il voyait toute la chaleur de l'amour et de sincérité des prostituées de son époque.
Je ne cache pas que j'ai observé beaucoup de souffrances, d'exclusions et expulsions de ces personnes humaines vers d'autres lieux. Pourtant, j'ai entendu chez elles plus de propos lucides et près de la dimension spirituelle de l'être humain que bien des croyants fréquentant ces églises de pierre dont je vous parlais au début. Si certains d'entre eux partent vers un monde meilleur, je crois, ceux-ci laissent pour moi le souvenir vivace d'une réalité apostolique de plus en plus vérifiable, celle d'une vraie Église vivante, dans la rue, au coeur de l'humanité.
Comme je vous en fais habituellement l'invitation, vous pouvez blogguer avec moi. J'apprécierai tout commentaire constructif et original sur le thème que je viens d'aborder!
dimanche 15 juin 2008
CHEVALIERS DE COLOMB
Je trouvais important de parler de mon implication dans cet Ordre puisque j'ai déjà traité de mes actions communautaires et caritatives. Pour moi, l'Ordre des Chevaliers de Colomb, fondé en 1882, par l'abbé Michael J Mc Givney, à New Haven, dans le Connecticut. Ainsi, je ne m'attarderai pas à dépeindre l'historique du mouvement. En résumé, le fondateur caressait un rêve d'un ordre dont les œuvres de charité et inspiré de celles existantes au siècle des Lumières, en Europe. 126 ans plus tard, les Chevaliers de Colomb, à travers les comités Jeunesse (lapin Jako) entre autre, demeurent actifs dans les paroisses, dans les milliers de conseils disséminés en Amérique du nord et à travers le monde.
En ce qui me concerne plus spécifiquement, j'ai rejoint cet ordre catholique laïque en septembre 2005, poussé par mon désir de poursuivre des activités de pastorale sociale comme je le faisais déjà de toutes façons. Vous constaterez, chers bloggueurs, qu'il ne s'agit ni d'une communauté religieuse, encore moins d'une secte. Ce que je souhaite vous amener à prendre en considération, c'est ma constante persévérance dans mon action à soulager les plus démunis de la société. En ce sens, l'Ordre des Chevaliers de Colomb correspondait à mes attentes. Comme vous vous en doutez sans doute je n'ai pas tardé à m'impliquer dans le mouvement. Déjà au début de janvier 2006, je m'engageais avec toute mon intensité en tant que secrétaire-archiviste. C'est une fonction que je crois avoir cumulée honorablement car je participais à pratiquement toutes les assemblées exécutives et générales du Conseil 9735 de Chicoutimi secteur nord, celui auquel j'appartiens toujours.
Depuis 2008, c'est à titre de chancelier que j'œuvre, où je me sens davantage à mon aise et pour cause... En effet, j'ai la responsabilité de la réflexion pastorale...sociale, comme vous pouvez le concevoir. Je rédige des pensums et autres petits textes construits autour des 4 principes de l'Ordre; Charité, Unité, Fraternité et Patriotisme. Je tire celles-là de textes des Évangiles; péricopes ou paraboles.
Dans l'ensemble, les bloggueurs peuvent discuter des degrés d'intervention des Chevaliers de Colomb. En fait, n'avez vous pas déjà entendu parler de la Garde paroissiale, des lapins Jako ou encore les dons en argent donnés à divers organismes communautaires? Je vous convie ainsi à me soumettre vos réflexions au sujet de cet Ordre en toute solidarité. Je vous en remercie tous à l'avance...
samedi 14 juin 2008
ORGANISMES DE BIENFAISANCE
L'un des aspects pivots de la solidarité sociale, c'est la mise sur pied d'un organisme caritatif par des citoyens et citoyennes de différentes localités du Québec afin de combler un ou plusieurs besoins. Référence Espoir, aujourd'hui disparu, comptait parmi ces organismes. Par consensus et guidé indubitablement par un haut niveau de conscience communautaire, j'ai fondé cette ressource, avec l'aide d'un associé et ami de longue date, monsieur Yannick Nepton. Référence-Espoir venait donc en aide aux femmes et aux hommes de notre communauté aux prises avec certaines problématiques.
Moi-même et mes collaborateurs étions à même de constater au cours de notre vie, dans nos familles, parmi notre cercle d'amis et camarades de travail que certaines personnes présentent davantage que d'autres, des fragilités face à certaines épreuves de l'existence et étapes de crise. L'isolement, la détresse, le découragement et la marginalisation sont omniprésents dans notre société et souvent liées aux conditions socioéconomiques précaires vécues localement par ces personnes. Ville Saguenay ne faisait pas exception à la règle, d'où l'importance de saisir que les besoins n'iront pas en s'amenuisant au cours des prochaines années.
Afin de vous situer l'organisme de bienfaisance Référence Espoir dans le temps, celui-ci avait été fondé le 7 décembre 2004 par des gens responsables de Ville de Saguenay avec l'appui d'un travailleur social, d'un intervenant de milieu et avec le soutien de plusieurs bénévoles. Notre mission était d'aider ainsi nos concitoyens à stimuler entre eux les pratiques d'entraide et à offrir des services adaptés à une clientèle marginalisée et vivant des problématiques parfois multiples et particulières, à travers une intervention pro-active. Nous devions nous assurer d'accompagner adéquatement l'usager dans sa démarche de prise en charge, de même que travailler en partenariat avec d'autres organismes compétents quant aux besoins du client.
Au fil des années, nous avions bel et bien constaté le besoin croissant de la population via un tel organisme. Cependant, la fermeture de Référence Espoir était essentiellement due à un manque flagrant de financement ou commandites, certes pas de bonne volonté. C'était donc à regret que nous mettions finalement la clé à la porte de celui-ci. Toutefois, il est à noter que l'organisme est venu en aide à 345 personnes, donc ce n' est pas le besoin qui manquait. Pour vous les bloggueurs, vous pourrez visionner un reportage avec moi-même et monsieur Guylain Harvey, le président du Conseil d'administration. Ce reportage effectué par monsieur Danny Desbiens, était diffusé à TVDL, à Ville de La Baie. En outre, vous verrez une photo souvenir des membres de l'organisme caritatif.
Enfin, si cela vous interpelle, vous pouvez échanger avec moi sur ce thème. Je vous remercie tous, amis bloggueurs!
jeudi 12 juin 2008
LE TRAFIQUANT D'ESPOIR
D'emblée, je peux exprimer par ce titre la quasi totalité de mon vécu. Je fais allusion, dans ces lignes, à ma quête de sens, à travers des souffrances nombreuses, séquelles de mon enfance et adolescence tourmentées. Je ne m'étendrai pas sur celles-ci, ce n'est pas le propos de ce blog. Je pourrais dire sans prétention que les pages de ma vie se feuillètent au gré des expériences et je crois que les bloggueurs découvriront mon caractère humaniste dont j'ai déjà fait mention.
Ce livre "Le Trafiquant d'Espoir" résume adéquatement les passages authentiques de mon existence, sans fausse pudeur. Dans un geste de solidarité comme je souhaite le voir réalisé dans la société, Mgr André Rivest, évêque du diocèse de Chicoutimi, a généreusement rédigé la préface de mon livre. Ce qui m'a ému tout particulièrement car je connaissais celui-ci et son implication exemplaire dans la communauté. Comme vous vous en doutez, la spiritualité tient une place prépondérante dans ma vie bien que je me garde surtout d'imposer mes vues aux personnes. L'un de mes amis dirait que je ne fais certainement pas de prosélytisme mais que j'acceuille et accompagne les personnes mal aimées, tel un trafiquant d'Espoir.
Il est ainsi possible d'en connaître davantage sur ma personne via ce titre "Le Trafiquant d'Espoir", paru aux Éditions Melonic, en visitant le site web suivant: www.editionsmelonic.com au coût de 20,00$ plus frais de poste et manutention.
Enfin, dans la mouvance moderne des courants de valeurs, les personnes désireuses de trouver quelques réponses à leurs questionnements et interpellations y liront diverses expériences authentifiables. Ces dernières apportent la réflexion que je me suis toujours efforcé d'amener chez les personnes à la recherche d'une lumière à l'extrémité du tunnel. Je profite donc de cette dernière ligne pour remercier tous les bloggueurs de me lire.
MISSION HUMANITAIRE
Je souhaite vous faire part d'une expérience humaine incomparable et qui ne se reproduit que peu de fois dans une vie, c'est mon parcours humanitaire en république du Cameroun, plus précisément sa capitale, Yaoundé, en novembre 2006. J'avoue que je rêvais étant jeune d'une telle action dans un pays lointain.
J'ai été choisi parmi un grand nombre de candidats et je ne pensais pas vraiment à mes chances d'être choisi. Je le fus, par Équiterre, un groupement d'aide internationale reconnu, par l'entremise du Mouvement Citoyen, sous la direction de monsieur Luc Abomo. La mission spécifique de cet organisme d'entraide c'est le soutien aux hommes et femmes de ce pays africain, dans un souci d'égalité. Les valeurs de partage, de solidarité et d'éducation y sont présentes; les niveaux d'intervention se font en santé, en éducation et en pastorale sociale, secteur dans lequel j'ai oeuvré pendant mon séjour là bas.
La démarche que j'ai appuyée c'est par un travail de soutien à travers les témoignages des gens des quartiers; dans les écoles, les hôpitaux et autres institutions où le Mouvement Citoyen me dépêchait. Ce qui m'a frappé surtout au gré de mes rencontres, c'est la solidarité et l'esprit de corps de ces gens dignes et leur façon de résoudre les problèmes quotidiens. Il faut dire que l'on parle de survie dans ce contexte, contrairement à nos habitudes de surconsommation de Nords-Américains. Personne ne semble se marcher sur les pieds, et pourtant, la misère y est omniprésente. J'ai vu des enfants auxquels je m'adressais, me sourire malgré leurs souffrances. La malnutrition et le manque de tout de ces braves personnes interpelle le véritable humaniste que je suis. Ainsi, plusieurs me faisaient part de leurs préoccupations sans jamais se plaindre. Si j'en garde un souvenir émouvant malgré sa brièveté, c'est que je ne peux m'empêcher de vous livrer ce petit témoignage sous forme de blog.
Ah oui, j'allais oublier! Au fil des conversations avec monsieur Abomo, j'ai découvert un homme exceptionnel, son équipe également. D'ailleurs, je fus touché par le geste qu'il a posé. Il m'a félicité de mes interventions, en outre, j'ai reçu le titre officiel de Conseiller aux affaires humanitaires entre le Cameroun et le Canada, et ce, depuis le 21 novembre 2006. Cette mission m'a inspiré à rédiger un livre publié par les Éditions Espoir enr. "Ma Mission citoyenne au Cameroun" et que tout bloggueur intéressé peut se procurer en visitant le site web suivant:http://www.leseditionsespoir.com/ Cette maison d'édition se fera un grand plaisir de vous en faire parvenir une copie au coût de 23,00$ plus frais de poste et de manutention.
Enfin, j'espère que ces quelques lignes vous auront incité à en connaître davantage sur le continent africain et que vous aurez eu l'impression de me suivre dans ce bref itinéraire!
J'ai été choisi parmi un grand nombre de candidats et je ne pensais pas vraiment à mes chances d'être choisi. Je le fus, par Équiterre, un groupement d'aide internationale reconnu, par l'entremise du Mouvement Citoyen, sous la direction de monsieur Luc Abomo. La mission spécifique de cet organisme d'entraide c'est le soutien aux hommes et femmes de ce pays africain, dans un souci d'égalité. Les valeurs de partage, de solidarité et d'éducation y sont présentes; les niveaux d'intervention se font en santé, en éducation et en pastorale sociale, secteur dans lequel j'ai oeuvré pendant mon séjour là bas.
La démarche que j'ai appuyée c'est par un travail de soutien à travers les témoignages des gens des quartiers; dans les écoles, les hôpitaux et autres institutions où le Mouvement Citoyen me dépêchait. Ce qui m'a frappé surtout au gré de mes rencontres, c'est la solidarité et l'esprit de corps de ces gens dignes et leur façon de résoudre les problèmes quotidiens. Il faut dire que l'on parle de survie dans ce contexte, contrairement à nos habitudes de surconsommation de Nords-Américains. Personne ne semble se marcher sur les pieds, et pourtant, la misère y est omniprésente. J'ai vu des enfants auxquels je m'adressais, me sourire malgré leurs souffrances. La malnutrition et le manque de tout de ces braves personnes interpelle le véritable humaniste que je suis. Ainsi, plusieurs me faisaient part de leurs préoccupations sans jamais se plaindre. Si j'en garde un souvenir émouvant malgré sa brièveté, c'est que je ne peux m'empêcher de vous livrer ce petit témoignage sous forme de blog.
Ah oui, j'allais oublier! Au fil des conversations avec monsieur Abomo, j'ai découvert un homme exceptionnel, son équipe également. D'ailleurs, je fus touché par le geste qu'il a posé. Il m'a félicité de mes interventions, en outre, j'ai reçu le titre officiel de Conseiller aux affaires humanitaires entre le Cameroun et le Canada, et ce, depuis le 21 novembre 2006. Cette mission m'a inspiré à rédiger un livre publié par les Éditions Espoir enr. "Ma Mission citoyenne au Cameroun" et que tout bloggueur intéressé peut se procurer en visitant le site web suivant:http://www.leseditionsespoir.com/ Cette maison d'édition se fera un grand plaisir de vous en faire parvenir une copie au coût de 23,00$ plus frais de poste et de manutention.
Enfin, j'espère que ces quelques lignes vous auront incité à en connaître davantage sur le continent africain et que vous aurez eu l'impression de me suivre dans ce bref itinéraire!
mercredi 11 juin 2008
CHEMINEMENT PERSONNEL
Je souhaite proposer un cheminement d'un individu authentique davantage qu'un curriculum d'une personne instruite. Mon parcours de vie fut tumultueux à l'adolescence, j'étais trafiquant de drogues. Les bloggueurs comprendront, je l'espère, toutes les situations menant à cette vie désoeuvrée. Généralement, l'adolescent qui s'adonne à ce commerce illicite provient d'une famille démunie, aux valeurs éclatées. Dans ces conditions, le jeune subit une crise identitaire où l'estime de soi est bafouée, à travers le dénigrement ou toute forme de harcèlement psychologique de ses proches, de même que les valeurs éducatives prennent un sérieux coup. Je fus l'un de ces jeunes désoeuvrés dont les séquelles de cette éducation ont persisté pendant une certaine période de ma vie. Désormais j'en suis un d'une autre nature...d'espoir. Bien sûr, après une réorientation tant individuelle que professionnelle, les bloggueurs seront à même de remarquer mes centres d'intérêts; formation en travail social, toxicomanie, enfin pastorale sociale et théologie.
J'admets humblement que je ne fus pas entouré d'un jardin de roses, au contraire, ma vie sembla jusqu'au début de l'âge adulte jonchée de ronces. On pourrait croire que cela me fit baisser les bras. Pas du tout, je suis parvenu à puiser au fond de moi, les ressources spirituelles et humaines qui firent de moi l'homme que je suis devenu, animé d'une foi inextinguible et d'une détermination du même registre. J'avoue que c'est mon insécurité ajoutée à la somme de mes peurs qui m'ont infusé davantage l'énergie nécessaire de poursuivre mon destin, si on veut, aussi cela, transparaît à travers mes choix sociaux et professionnels en démontrant de la persévérance dans le leadership. Je ne m'en cache pas, j'aime diriger, dans un esprit constructif de consolidation communautaire certainement, avec conviction et enthousiasme, sans demi-mesures. Avec la perspective d'ex toxicomane, mon degré d'intervention s'est réalisé tant dans mes approches sociales que personnelles.
Je me suis aperçu assez tôt que mon expérience allait servir à une cause noble, d'aider les gens aux prises avec des problèmes de toxicomanie et d'autres dépendances. Ce que j'ai vécu comme travailleur de rue, à Québec, dans le quartier St Roch, fut pour moi inestimable. Je considère également fort valable mes diverses actions bénévoles dont l'une fort mémorable, une mission citoyenne au Cameroun et dont je reparlerai dans un autre item.
J'admets humblement que je ne fus pas entouré d'un jardin de roses, au contraire, ma vie sembla jusqu'au début de l'âge adulte jonchée de ronces. On pourrait croire que cela me fit baisser les bras. Pas du tout, je suis parvenu à puiser au fond de moi, les ressources spirituelles et humaines qui firent de moi l'homme que je suis devenu, animé d'une foi inextinguible et d'une détermination du même registre. J'avoue que c'est mon insécurité ajoutée à la somme de mes peurs qui m'ont infusé davantage l'énergie nécessaire de poursuivre mon destin, si on veut, aussi cela, transparaît à travers mes choix sociaux et professionnels en démontrant de la persévérance dans le leadership. Je ne m'en cache pas, j'aime diriger, dans un esprit constructif de consolidation communautaire certainement, avec conviction et enthousiasme, sans demi-mesures. Avec la perspective d'ex toxicomane, mon degré d'intervention s'est réalisé tant dans mes approches sociales que personnelles.
Je me suis aperçu assez tôt que mon expérience allait servir à une cause noble, d'aider les gens aux prises avec des problèmes de toxicomanie et d'autres dépendances. Ce que j'ai vécu comme travailleur de rue, à Québec, dans le quartier St Roch, fut pour moi inestimable. Je considère également fort valable mes diverses actions bénévoles dont l'une fort mémorable, une mission citoyenne au Cameroun et dont je reparlerai dans un autre item.
PRÉSENTATION
Vous vous trouvez sur le site d'un humaniste qui désire redonner espoir aux gens qui souffrent encore. Je me suis toujours efforcé d'agir en ce sens grâce à mon implication dans divers organismes caritatifs. Aussi, je me suis retrouvé à travers les plus petits et j'ai cherché à intégrer les grands courants axiologiques dans une société souvent déshumanisée. J'ai souhaité guider bien humblement les personnes dans un cheminement lumineux de quête de sens et d'altérité. De par mon intervention en pastorale sociale, je m'efforce de diriger les individus vers la conquête de leur dignité humaine. À travers ce site, les bloggueurs découvriront les diverses valeurs et thématiques qui leur tiennent à coeur, sans moralisme. Ainsi, je vous invite cordialement à me lire et échanger avec moi des idées constructives. Je vous en remercie tous et bon parcours via les blogs.
BRÈVE PRÉSENTATION
Vous vous trouvez sur le site d'un humaniste qui s'est donné pour mission de redonner espoir aux gens. J'exprime ce choix à travers mon travail d'intervenant en pastorale sociale. Comme pour tout ce que j'entreprends, je mène les dossiers jusqu'à leur réalisation. Tous ceux et celles qui consulteront ce blogue découvriront un être au carrefour des courants axiologiques contemporains; et tente d'amener les personnes en quête de sens et d'altérité vers ce cheminement lumineux. Je souhaite aussi que les bloggeurs y retrouvent la source d'espérance recherchée. Merci de me lire et de communiquer avec moi.
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