J'aborde dans ce blog un thème élargi dont je ne me lasse pas; la famille. Vous comprendrez, amis bloggueurs, au fil de mes explications il existe un parallèle entre celle dite "nucléaire" et celle plus étendue, reconstituée ou rephasée dans sa forme contemporaine, si vous préférez.
Or, la vraie famille plus large n'est pas moins spirituelle dans son sens premier; l'esprit de vivre une quête d'altérité que l'on retrouve au sein de celle-ci. Dans celle-ci justement, l'éducation spirituelle, citoyenne, pastorale même tient une place prépondérante dans ma vie. Au fil de mes expériences familiales spirituelles, j'en suis venu à considérer la valeur et validité des liens avec des étrangers qui ne le sont pas tant que ça, à vrai dire.
Par le regard pastoral, lumineux que je porte à ces derniers, je constate une forme d'appartenance communautaire et solidaire. On peut voir la chose comme ceci; le tissus social s'est développé davantage chez moi que celui de et envers ma famille propre. Cela ne signifie pas pour autant que je ne recherche pas des valeurs authentiques d'une famille dont les liens sont aussi ficelés que possible. J'en viens ici au principes d'éducation non laxiste, où la liberté d'expression de père à mère, aux enfants. On conçoit une certaine fermeté dans l'autorité. Je n'ai d'ailleurs jamais défendus des principes autoritaires. Cependant, il faut bien s'assurer de pouvoir et savoir dire "non" à sa progéniture et rectifier certains schèmes de comportements.
Pour ce qui est des liens avec les étrangers, je m'efforce de les percevoir comme appartenant à la famille en Christ. Comprenons qu'à la lumière des enseignements de Jésus, notre place est assignée de manière affranchie, car toute décision à l'intérieur de celle-ci se doit d'être libre. Le membre de cette famille saura où il se dirige dans la communauté chrétienne par les exemples vivants que des étrangers donnent. Par exemple, si un ami a fait preuve d'abnégation envers moi, je lui démontre un esprit de solidarité et de gratitude non feints ni contraints. Que de fois j'ai cité: "Croyez en la Vérité et celle-ci vous rendra libre". De fait, elle vous affranchira des secrets trop lourds, des contraintes, vous menant un peu chaque jour sur la voie la plus éclairée, pas forcément la plus facile.
Enfin, je tiens à vous réitérer mon invitation à débattre votre perception de la famille contemporaine, à la lumière de votre vécu et de vos lectures. Vous êtes tous les bienvenus. Merci beaucoup de votre attention et à très bientôt!
mercredi 20 août 2008
vendredi 15 août 2008
MON RAYON DE SOLEIL,MA RAISON D'ÊTRE!
Je tiens à vous livrer mes impressions de père ému et fier de mon fils, le petit Charles-Antoine, âgé de 5 ans. C’est un petit bout d’homme qui m’est très précieux. Du reste, je souhaite lui inculquer toutes les valeurs humaines, axiologiques et pastorales autant que possible.
Dans ma relation privilégiée avec celui-ci, toutes les fois que je suis en relation avec l’enfant, je m’efforce de lui procurer l’affection dont j’ai été privé par mes propres parents lorsque j’étais moi-même à l’âge de mon fils. Pour rien au monde je souhaite le voir emprunter la voie tourmentée que j’ai suivie. Aussi, j’essaie de lui inculquer les valeurs de droiture, de générosité et de persévérance, des traits de caractère que je décèle graduellement en lui. En outre, il est important pour moi, malgré le contentieux avec mon ex conjointe, de veiller à ce que l’enfant n’apprenne pas à dénigrer l’un ou l’autre parent, ceci, dans le but de créer l’harmonie autour de l’enfant. Il importe également de lui procurer tout ce qui contribuera à son bien-être physique; bien le nourrir, psychique et surtout lui propager l’amour en abondance. En quelque sorte, sans vouloir négliger l’intellect, il faut préparer l’enfant au langage du cœur. Dans ces propos, je désire que vous, bloggueurs, perceviez tout l’amour inconditionnel et l’intensité d’une relation père fils authentique avec des valeurs éternelles.
Charles-Antoine est mon rayon de soleil dans mon quotidien et je vous conte une petite anecdote qui me touche particulièrement. Je pense à toutes les fois que mon fils me demande de lui conter une histoire merveilleuse ou encore, de lui faire visionner ses animations favorites, surtout « Le Petit Chaperon rouge » qu’il connaît d’ailleurs par cœur. Je m’efforce d’éviter de céder à ses caprices mais je l’aime davantage lorsqu’il me fait des « colleux ». Très affectueux, Charles-Antoine me demande souvent : « Ça va, Pascal? » Je trouve très attachant le fait qu’il se préoccupe de moi; je sens qu’il m’admire et m’aime à travers son regard lumineux. J’y perçois la pureté et la curiosité d’un esprit vif et innocent. Du reste, Notre Seigneur ne dit-Il pas, dans Matthieu : « Laissez venir à moi les petits enfants et…Malheur à ceux qui porteront scandale à ces tout-petits… » Je pense que l’application au quotidien de passages des Évangiles n’a pu que renforcer ma vocation de père aimant et ma dignité d’homme.
Comme j’en ai pris l’habitude, je vous convie tous, amis bloggueurs, à échanger avec moi vos impressions sur la paternité et surtout les valeurs que vous vous efforcez vous-même de léguer à votre progéniture. En tout cas, je pourrai dire que je transmets à Charles-Antoine, de la richesse du cœur plutôt que matérielle. J’aimerais recevoir vos commentaires et vous en remercie amicalement à l’avance! À bientôt!
Dans ma relation privilégiée avec celui-ci, toutes les fois que je suis en relation avec l’enfant, je m’efforce de lui procurer l’affection dont j’ai été privé par mes propres parents lorsque j’étais moi-même à l’âge de mon fils. Pour rien au monde je souhaite le voir emprunter la voie tourmentée que j’ai suivie. Aussi, j’essaie de lui inculquer les valeurs de droiture, de générosité et de persévérance, des traits de caractère que je décèle graduellement en lui. En outre, il est important pour moi, malgré le contentieux avec mon ex conjointe, de veiller à ce que l’enfant n’apprenne pas à dénigrer l’un ou l’autre parent, ceci, dans le but de créer l’harmonie autour de l’enfant. Il importe également de lui procurer tout ce qui contribuera à son bien-être physique; bien le nourrir, psychique et surtout lui propager l’amour en abondance. En quelque sorte, sans vouloir négliger l’intellect, il faut préparer l’enfant au langage du cœur. Dans ces propos, je désire que vous, bloggueurs, perceviez tout l’amour inconditionnel et l’intensité d’une relation père fils authentique avec des valeurs éternelles.
Charles-Antoine est mon rayon de soleil dans mon quotidien et je vous conte une petite anecdote qui me touche particulièrement. Je pense à toutes les fois que mon fils me demande de lui conter une histoire merveilleuse ou encore, de lui faire visionner ses animations favorites, surtout « Le Petit Chaperon rouge » qu’il connaît d’ailleurs par cœur. Je m’efforce d’éviter de céder à ses caprices mais je l’aime davantage lorsqu’il me fait des « colleux ». Très affectueux, Charles-Antoine me demande souvent : « Ça va, Pascal? » Je trouve très attachant le fait qu’il se préoccupe de moi; je sens qu’il m’admire et m’aime à travers son regard lumineux. J’y perçois la pureté et la curiosité d’un esprit vif et innocent. Du reste, Notre Seigneur ne dit-Il pas, dans Matthieu : « Laissez venir à moi les petits enfants et…Malheur à ceux qui porteront scandale à ces tout-petits… » Je pense que l’application au quotidien de passages des Évangiles n’a pu que renforcer ma vocation de père aimant et ma dignité d’homme.
Comme j’en ai pris l’habitude, je vous convie tous, amis bloggueurs, à échanger avec moi vos impressions sur la paternité et surtout les valeurs que vous vous efforcez vous-même de léguer à votre progéniture. En tout cas, je pourrai dire que je transmets à Charles-Antoine, de la richesse du cœur plutôt que matérielle. J’aimerais recevoir vos commentaires et vous en remercie amicalement à l’avance! À bientôt!
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